« Test de Turing » : différence entre les versions


Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Ligne 22 : Ligne 22 :


Note: les termes test de Turing et jeu de l'imitation sont validés par des spécialistes canadiens de l'Université Concordia, de l'Université Dalhousie, de l'Université Laval et de Microsoft Canada.
Note: les termes test de Turing et jeu de l'imitation sont validés par des spécialistes canadiens de l'Université Concordia, de l'Université Dalhousie, de l'Université Laval et de Microsoft Canada.
</small><br> <div style="border:2px solid #336699; background: #f6f6f6; padding: 1em; margin-bottom:1em; width: 90%;"><html><a href="https://datafranca.org/wiki/Cat%C3%A9gorie:101"><img src="https://datafranca.org/images/icone-101-mots.png" width="250"></a></html>
<br></div><br><br>
[[Catégorie:GDT]]
[[Catégorie:GDT]]
[[Category:intelligence artificielle]]
[[Category:intelligence artificielle]]
[[Category:GRAND LEXIQUE FRANÇAIS]]
[[Category:GRAND LEXIQUE FRANÇAIS]]
[[Catégorie:101]]
[[Catégorie:101]]

Version du 27 juillet 2022 à 12:56

Définition

Le test de Turing (ou jeu de l'imitation) est une proposition de test d’intelligence artificielle fondée sur la faculté d'une machine à imiter la conversation humaine. Décrit par Alan Turing en 1950 dans sa publication Computing machinery and intelligence, ce test consiste à mettre un humain en confrontation verbale à l’aveugle avec un ordinateur et un autre humain.

Note: si la personne qui engage les conversations n’est pas capable de dire lequel de ses interlocuteurs est un ordinateur, on peut considérer que le logiciel de l’ordinateur a passé avec succès le test. Cela sous-entend que l’ordinateur et l’humain essaieront d’avoir une apparence sémantique humaine.

Français

test de Turing

jeu de l'imitation

Anglais

Turing test

imitation game

Source: Wikipedia, Test de Turing.

Source: Wikipedia, Computing machinery and intelligence.

Source : TERMIUM Plus

Note: les termes test de Turing et jeu de l'imitation sont validés par des spécialistes canadiens de l'Université Concordia, de l'Université Dalhousie, de l'Université Laval et de Microsoft Canada.